Go Transport Canada

International freight forwarding, International moving, International Shipping, Overseas moving, Moving & storage, Air freight service, Relocation service, Shipping cars, International container shipping ,Vehicle export service, Packing & crating service, Logistics service

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NASHVILLE, Ind. -- Conditions for shippers fell in July, according to FTR Associates’ Shippers Conditions Index (SCI), to a reading of -4.5. The SCI sums up all market influences that affect shippers; a reading above zero suggests a favourable shipping environment, while a reading below zero is unfavourable.

FTR officials said the decrease marks the start of an “expected steady decline as shippers and carriers feel the impact of increased regulatory drag heading into 2013.”

FTR characterizes the current period “as an inflection point where costs and rates will begin moving up if the US economy continues to sustain a relatively healthy freight market as new regulations take hold.” Officials added that the forecasted tightening of capacity and associated increased shipping costs will continue to negatively impact the Shippers Conditions Index unless the economy slows more than expected. 

“FTR’s base outlook calls for shipping conditions to deteriorate as freight volume grows slowly and government regulations are implemented, adversely affecting driver productivity,” said Larry Gross, senior consultant for FTR. “This assumes that the Euro crisis remains contained and that the federal government does not drive the economy off the ‘fiscal cliff’ at year-end. If either scenario occurs, we would consider a recession likely, causing freight demand to drop and eliminating any pote

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OTTAWA, Ont. -- Canadian rail freight traffic rose 6.8% in June from June 2011 to 27.2 million tonnes, according to a report from Statistics Canada. The gain was the result of increases in both domestic and international cargo loadings.

Over the same period, the industry's core domestic transportation systems, composed of non-intermodal traffic and intermodal traffic, increased 4.9% to 23.8 million tonnes.

Non-intermodal cargo loadings rose 4.2% to 21.2 million tonnes. The gain was the result of increased traffic in approximately half of the commodity classifications carried by the railways. The commodity groups with the largest increases in tonnage were coal, fuel oils and crude petroleum, and iron ores and concentrates.

In contrast, several commodity groups registered decreases. Loadings of wheat decreased the most, followed by sand, gravel and crushed stone, and colza seeds (canola).

Intermodal freight loadings rose 10.5% to 2.6 million tonnes. The increase occurred solely on the strength of containerized cargo shipments, as trailers loaded onto flat cars declined, StatsCan reports.

At an international level, total rail traffic received from the US advanced 22.2% to 3.4 million tonnes. The increase was driven by both non-intermodal and intermodal traffic.

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MONTREAL, Que. -- CN is acquiring more than 2,200 new freight cars in 2012, as well as 1,300 new containers in a move to support traffic growth and improve customer service, the company has announced.

"CN is acquiring new freight cars and containers for a range of markets, including forest products, metals, minerals, coal, iron ore, steel, consumer goods, finished vehicles, and grain,” said Jean-Jacques Ruest, executive vice-president and chief marketing officer for CN. “These fleet additions will help us grow in line with our customers' demands and ensure CN has the right mix of modern, productive assets."

CN's largest rolling stock addition in 2012 is the acquisition of 600 premium 60-ft., double-door boxcars for forest products, and metals traffic. These higher payload cars are designed to help improve customer loading efficiency, the company said.

CN's other main 2012 fleet additions are: 

• 1,300 containers for grocery and consumer goods;

• 558 high-capacity modern covered hoppers for grain exports;

• 317 multi-level cars for finished vehicles deliveries to major cities;

• 300 gondolas for coal exports;

• 232 new ore cars for pelletized iron ore produced in Minnesota to supply steel mills in the US; and

• 200 multi-purpose boxcars for the North American freight car pool.

"CN's rolling stock acquisition strategy is responding to evolving market conditions and is intended to ensure reliable, predictable supply chains for our customers," Ruest said.

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ABBOTSFORD, C.-B. – Un nouveau panneau à messages sur la route 1 affichera le temps d'attente à la frontière, ce qui aidera les automobilistes et les conducteurs de véhicules commerciaux qui se rendent aux États-Unis à planifier leur itinéraire et à gagner du temps. Le ministre du Commerce international et ministre de la Porte d'entrée de l'Asie-Pacifique, M. Ed Fast, et le ministre des Transports et de l'Infrastructure de la Colombie-Britannique, M. Blair Lekstrom, ont annoncé aujourd'hui l'installation de ce panneau.

Le système perfectionné de renseignements aux voyageurs (ATIS) mesure et affiche le temps d'attente à la frontière pour permettre aux automobilistes de prendre des décisions éclairées concernant leurs déplacements. Le nouveau panneau est situé sur la route 1 en direction ouest, entre l'échangeur du chemin Whatcom et de la route 11.

Le nouveau panneau fait partie d'un investissement de 2,6 millions de dollars déjà accordé pour étendre le système ATIS aux routes 11 et 13. Les gouvernements du Canada et de la Colombie-Britannique y ont contribué chacun 1,3 million de dollars.

« Le gouvernement du Canada est fier de participer à l'expansion du système perfectionné de renseignements aux voyageurs », a déclaré l'honorable Ed Fast, ministre du Commerce international et ministre de la Porte d'entrée de l'Asie-Pacifique. « Les technologies de pointe comme ce nouveau panneau, qui sont installées aux postes frontaliers le long de la frontière de la Colombie-Britannique et de l'État de Washington aideront les voyageurs à choisir le moment et l'endroit préférables pour traverser la frontière. Ces technologies contribueront à réduire le temps d'attente à ces passages frontaliers. »

« Nous sommes déterminés à travailler avec tous nos partenaires afin d'assurer le déplacement sécuritaire et efficace des personnes et des marchandises à la frontière », a dit le ministre Lekstrom. « Ce nouveau panneau fournira aux voyageurs ainsi qu'aux familles qui prévoient franchir la frontière les renseignements dont ils ont besoin pour planifier leurs déplacements et ainsi gagner du temps. »

Le projet appuie l'objectif de la province, présenté dans le plan Canada Starts Here: The BC Jobs Plan, qui est d'améliorer la circulation des personnes et des marchandises. Il appuie également l'engagement qu'a pris le gouvernement du Canada d'accélérer la circulation légitime des personnes et des marchandises entre le Canada et les États-Unis, tout en renforçant la sûreté et la compétitivité économique.

Le système perfectionné de renseignements aux voyageurs comprend des panneaux suspendus aux approches des passages frontaliers canado-américain clés du Lower Mainland ainsi que des panneaux à messages variables sur les routes 1, 91 et 99. De plus, les voyageurs pourront vérifier le temps d'attente à la frontière et les conditions de la route en se rendant sur le site Web http://www.tc.gc.ca/WET-BOEW/theme-gcwu-fegc/images/icon-external.gif); background-color: transparent; padding-right: 17px; background-position: 100% 50%; background-repeat: no-repeat no-repeat; ">www.th.gov.bc.ca/ATIS (en anglais seulement) ou en composant le 604-542-4380.

Les fonds fédéraux proviennent du programme des systèmes de transport intelligents (STI) aux passages frontaliers. Ce programme de contributions sert à fournir du financement aux exploitants de services de transport pour déployer des technologies de transport aux passages frontaliers terrestres entre le Canada et les États-Unis.

Ce nouveau panneau fait partie d'une série de mesures prises par les gouvernements fédéral et provincial afin d'améliorer le commerce et les déplacements transfrontaliers en Colombie-Britannique. Ces mesures comprennent l'expansion du système ATIS, l'ajout de voies NEXUS à trois passages frontaliers, des améliorations sur la route 15 dans le cadre du programme EXPRES, l'amélioration de l'accès aux véhicules commerciaux et l'ajout d'un système de signalisation antiralenti au passage frontalier Peace Arch.

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Selon le ministre, les avantages concurrentiels du Canada grâce à la porte d'entrée de l'Asie-Pacifique se font ressentir du Manitoba à la Colombie-Britannique et resserrent les liens du Canada avec la région en croissance rapide de l'Asie-Pacifique

OTTAWA — L'honorable Ed Fast, ministre du Commerce international et ministre de la porte d'entrée de l'Asie-Pacifique, a conclu aujourd'hui des consultations fructueuses qui se sont échelonnées sur deux semaines au Manitoba, en Saskatchewan, en Alberta et en Colombie-Britannique. Ces consultations portaient sur la porte d'entrée canadienne de l'Asie-Pacifique et sur l'engagement concret et continu du gouvernement du Canada dans la région de l'Asie-Pacifique.

À l'occasion de tables rondes, de visites et de réunions bilatérales à Winnipeg, Regina, Saskatoon, Edmonton, Delta, Vancouver, Nanaimo, Port Alberni et Prince Rupert, le ministre Fast a rencontré ses homologues provinciaux et des représentants municipaux, ainsi que des intervenants clés et des chefs de file du secteur des transports et de l'industrie, afin de discuter avec eux de moyens à prendre pour tirer profit des avantages concurrentiels du Canada et pour resserrer les liens en matière de commerce et d'investissements dans l'ensemble de la région de l'Asie-Pacifique.

« La priorité absolue de notre gouvernement continuera d'être l'économie, la création d'emplois, la croissance économique et la prospérité à long terme pour les Canadiens », a dit le ministre Fast. « Nous croyons que l'élargissement et la diversification de nos relations commerciales partout dans le monde sont les meilleurs moyens d'arriver à ces objectifs. Voilà pourquoi je tiens à consulter un grand nombre de personnes pour voir comment nous pouvons continuer d'appuyer les entreprises canadiennes et nous assurer de profiter au maximum des occasions que nous offre la région en croissance rapide de l'Asie Pacifique. »

Au cours des deux dernières semaines, le ministre Fast a fait des visites dans l'Ouest canadien afin de voir sur place comment les investissements et les partenariats stratégiques qui ont mené à la création de la porte d'entrée de l'Asie-Pacifique facilitent les activités visant à resserrer les liens en matière de commerce et d'investissements dans la région en croissance rapide de l'Asie-Pacifique. Le ministre a entre autres visité :

  • MacDon et Centreport à Winnipeg;
  • Global Transportation Hub, Brandt Industries Ltd. ainsi que l'Alliance Grain Traders et son usine principale Saskcan Pulse Trading à Regina;
  • la mine Cory de la PotashCorp, Crestline Coach Ltd. et Cameco à Saskatoon;
  • les terminaux portuaires Fairview et Ridley à Prince Rupert;
  • la Chambre de commerce du Canada (section Japon);
  • l'installation intermodale du Chemin de fer Canadien Pacifique à Pitt Meadows, près de Delta;
  • un emplacement de transbordement direct des navires aux trains au poste d'amarrage de barges de la Southern Railway of British Columbia à Delta;
  • les installations de Port Metro Vancouver et Westport Innovations Inc. à Vancouver;
  • le port de Nanaimo;
  • le port d'Alberni.

Le ministre Fast a terminé ses consultations sur la porte d'entrée de l'Asie-Pacifique dans l'Ouest canadien par la signature d'un accord de contribution qui honore l'engagement du gouvernement Harper à l'égard du projet de corridor routier, ferroviaire et de services publics sur l'île Ridley, à Prince Rupert. Ce projet contribuera à améliorer la capacité et les activités de ce port, ce qui est essentiel à l'augmentation des échanges commerciaux et au resserrement des liens en matière d'investissements dans les marchés asiatiques en pleine croissance.

« Comme un emploi canadien sur cinq découle du commerce, notre gouvernement réalise que les échanges commerciaux sont essentiels à la prospérité du Canada, comme ils l'ont été dans le passé et continueront de l'être. C'est pourquoi nous avons le plan très ambitieux d'augmenter les échanges commerciaux d'une manière sans précédent dans l'histoire du Canada, et ce, avec les plus grandes et les plus dynamiques économies étrangères où la croissance est la plus rapide », a dit le ministre Fast. « Bien que la situation économique demeure difficile partout dans le monde, notre gouvernement continuera de resserrer les relations commerciales du Canada et de tirer profit des avantages concurrentiels qui ont fait de notre pays la porte d'entrée de choix entre l'Asie et l'Amérique du Nord. Les consultations que nous avons tenues servent principalement à nous assurer que les investissements et les partenariats stratégiques que nous avons faits jusqu'à maintenant continuent de profiter aux travailleurs et aux entreprises. »

Depuis 2006, le gouvernement Harper a investi 1,4 milliard de dollars dans des projets d'infrastructure de la porte d'entrée de l'Asie-Pacifique, une somme qui s'est élevée à près de 4 milliards de dollars grâce à la participation des gouvernements provinciaux, des municipalités et du secteur privé. En tout, près de 50 projets ont été financés, ce qui a créé des emplois et favorisé la croissance économique dans les collectivités concernées. Ces projets ont aussi contribué à faciliter l'échange de services ainsi que le mouvement des personnes et des marchandises à destination ou en provenance des marchés en croissance rapide de l'Asie-Pacifique. »

Les ports de la côte Ouest du Canada permettent aux navires de se rendre au moins deux jours plus tôt aux marchés asiatiques comparativement à n'importe quel autre port nord-américain. Grâce aux investissements et aux partenariats stratégiques qui ont été faits, les exportations canadiennes vers la région de l'Asie-Pacifique ont atteint des niveaux records, En effet, en 2011 seulement, les exportations vers la Chine ont connu une augmentation notable de 27 %.

Pour plus de renseignements sur l'Initiative de la Porte et du Corridor de l'Asie-Pacifique du gouvernement du Canada ou pour voir les photos des consultations du ministre dans l'Ouest canadien, consultez notre site Web : http://www.tc.gc.ca/WET-BOEW/theme-gcwu-fegc/images/icon-external.gif); background-color: transparent; padding-right: 17px; background-position: 100% 50%; background-repeat: no-repeat no-repeat; ">www.portedelasiepacifique.gc.ca.

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FORT ERIE, ONTARIO — L'honorable Robert Nicholson, P.C., c.r., député fédéral de Niagara Falls, ministre de la Justice et procureur général du Canada, au nom de l'honorable Denis Lebel, ministre des Transports, de l'Infrastructure et des Collectivités, a annoncé aujourd'hui la mise en place d'une nouvelle technologie au pont Peace et au pont Queenston-Lewiston pour aider les gens à traverser la frontière plus rapidement.

« Le Canada et les États-Unis prennent des mesures pour promouvoir le déplacement sécuritaire, sûr et efficace des personnes et des marchandises qui franchissent la frontière », a dit le ministre Nicholson. « Cette technologie facilitera le déplacement des voyageurs et les échanges commerciaux transfrontaliers en fournissant des renseignements fiables et à jour, ce qui aidera les conducteurs à planifier leur trajet et à choisir le passage frontalier le plus rapide. »

De nouveaux capteurs perfectionnés seront installés près des postes frontaliers et des routes d'approche afin de mesurer les temps d'attente et de les signaler aux voyageurs. Les gens pourront mieux planifier leur itinéraire et le temps dont ils auront besoin pour traverser la frontière, et ils pourront choisir le pont le moins achalandé.

« Lorsque nous conduisons en direction de la frontière, nous nous demandons s'il sera plus rapide de traverser à Fort Erie ou à Queenston », a dit le ministre Nicholson. « Grâce à cette nouvelle technologie qui donne des renseignements précis, en temps réel, les temps d'attente pourront être affichés sur des panneaux de signalisation bien avant d'arriver à la frontière. »

On s'attend à ce que le public voyageur et les transporteurs commerciaux épargnent annuellement jusqu'à un million d'heures d'attente grâce à ce nouveau système. Des renseignements à jour publiés sur les sites Web du pont Peace et du pont Queenston-Lewiston aideront les conducteurs à planifier leur trajet et à économiser de l'argent en essence en évitant les embouteillages.

« Cette technologie démontre les progrès importants qui ont été réalisés dans le cadre du Plan d'action Par-delà la frontière en modernisant des infrastructures essentielles à nos points d'entrée et en améliorant l'expérience des voyageurs lorsqu'ils traversent la frontière », a dit le commissionnaire par intérim de la U.S. Customs and Border Protection, M. David Aguilar. « Ce récent exemple de collaboration entre les États-Unis et le Canada reflète comment le partenariat entre nos deux nations permet de continuer d'assurer notre compétitivité économique. »

« Le mouvement du fret est essentiel au commerce et à une économie saine », a dit l'administrateur fédéral des autoroutes des États-Unis, M. Victor Mendez. « Cette technologie aidera les entreprises américaines à faire traverser leurs marchandises à la frontière efficacement, ce qui favorisera la croissance de notre économie nationale et qui créera des emplois. »

Ce projet s'inscrit dans les engagements du Plan d'action Par-delà la frontière annoncé par le premier ministre Stephen Harper et le président Barack Obama le 7 décembre 2011. Dans le cadre de ce plan, le Canada et les États-Unis se sont engagés à réduire, à éliminer et à prévenir les obstacles aux voyages et aux échanges commerciaux transfrontaliers en mettant en place une technologie permettant de mesurer les temps d'attente aux 20 passages frontaliers terrestres les plus importants.

La technologie mesurant les temps d'attente permettra aussi :

  • d'aider les agences frontalières à mieux gérer le débit routier en fournissant des renseignements fiables aux fins de planification;
  • d'assurer des opérations frontalières plus efficaces en permettant aux ressources des agences frontalières de se concentrer sur la sûreté;
  • de diminuer les répercussions sur l'environnement en réduisant les émissions produites par les véhicules à cause de la congestion et des temps d'attente.

« La technologie mesurant les temps d'attente à la frontière rendra les passages frontaliers plus accessibles, augmentera l'efficacité aux points d'entrée et améliorera le service », a dit l'honorable Vic Toews, ministre de la Sécurité publique. « En mettant en place la technologie mesurant les temps d'attente aux points d'entrée, les voyageurs et les conducteurs de véhicules commerciaux auront accès à des renseignements qui les aideront à décider du moment et de l'endroit où ils traverseront la frontière ».

Ce projet a été réalisé en partenariat avec l'Administration fédérale des autoroutes (États-Unis), la U.S. Customs and Border Protection, l'Agence des services frontaliers du Canada et Transports Canada.

Pour obtenir des renseignements au sujet du pont Peace, visitez le http://www.tc.gc.ca/WET-BOEW/theme-gcwu-fegc/images/icon-external.gif); background-color: transparent; padding-right: 17px; background-position: 100% 50%; background-repeat: no-repeat no-repeat; ">www.peacebridge.com (en anglais seulement).

Pour obtenir des renseignements au sujet du pont Queenston-Lewiston, visitez lehttp://www.tc.gc.ca/WET-BOEW/theme-gcwu-fegc/images/icon-external.gif); background-color: transparent; padding-right: 17px; background-position: 100% 50%; background-repeat: no-repeat no-repeat; ">www.niagarafallsbridges.com (en anglais seulement).

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New NEXUS lane now open at Abbotsford-Huntingdon border crossing

Abbotsford, British Columbia, July 25, 2012 — The Canada Border Services Agency (CBSA) today announced that NEXUS members can now enjoy crossing simply and smoothly into Canada at a new NEXUS lane at the Abbotsford-Huntingdon, British Columbia and Sumas, Washington border crossing. The lane is open from 8 a.m. until 8 p.m., seven days a week for entry into Canada.

NEXUS members must show their membership cards upon arrival at the border until electronic card readers are installed later in the year. The CBSA decided to open the lane before it is fully functional given the enormous popularity of the NEXUS program, particularly in British Columbia. This opening allows NEXUS members the benefit of entering both Canada and the U.S. at this crossing.  

"This new NEXUS lane means a smoother crossing for pre-approved, low-risk travellers in British Columbia just in time for the long weekend in August," said the Honourable Ed Fast, Minister of International Trade and Minister for the Asia-Pacific Gateway. "It's another example of how Canada is working to improve the flow of legitimate travel and trade across our shared border."

The addition of the new NEXUS lane is part of a number of enhancements that Canada and the United States are making to the NEXUS program as part of the Canada/U.S. Action Plan on Perimeter Security and Economic Competitiveness. These Action Plan achievements include:

  • starting enrolment blitzes to assist with increasing application volumes;
  • streamlining the membership renewal process;
  • launching an outreach and awareness plan to increase membership; and
  • lifting the three-year residency requirement in Canada for Canadian and American citizens to apply to NEXUS.

Currently there are over 700,000 NEXUS members who expedite their travel across the Canada-U.S. border at designated air, land and marine locations.

-30-

For more information on NEXUS, go to www.nexus.gc.ca.

For more information on the Action Plan on Perimeter Security and Economic Competitiveness, please visit the Web site www.borderactionplan.gc.ca.

Follow the Canada Border Services Agency (@CanBorder) and Public Safety Canada (@Safety_Canada) on Twitter.

For further information:

Media Relations
Canada Border Services Agency
613-957-6500

Public Safety Canada
613-991-0657

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Every January in Britain, the rail companies put up some of their fares.  And every January in Britain this leads to outrage.

Which is odd, because most other businesses are constantly changing their prices but we don’t get anything like the fuss when they happen to put some of those prices up.

The reason, of course, is government.  In Britain the government regulates a certain number of fares, usually on the busy London commuter routes.  Or, to put it another way, in Britain the government uses violence and the threat of violence to regulate fares.  It is in January that the government allows rail companies to increase their fares in line with inflation plus or minus a small percentage.

Not only is this practice wrong but it also distorts the market leading to overcrowding (see A generic piece on overcrowding).  It also deprives rail companies of the sort of price signals they need to run their businesses successfully.  Because they don’t know how much people are genuinely prepared to pay for a seat, against how much they are prepared to pay to stand, companies don’t know what sort of mix of seating and standing they should be providing.  Nor do they know how many trains they should run and whether increasing the number of trains would justify the cost of, for instance, new signalling. 

Worse still, while allowing rail companies to charge something nearer the market rate is a step in the right direction so long as regulation and the threat of regulation exists, companies are unable to plan for the future.

So, you would allow train companies to charge whatever they like? 
Yes.

But wouldn’t they charge the earth?  And when they do wouldn’t that mean that lots of people could no longer afford to get to work and end up unemployed? 
What we have here is a conflict between the short term and the long term.  The advantages of market prices will for the most part only be seen in the long-term while the disadvantages (higher prices) will be seen almost instantly. 

One of the sad things is that we don’t know how severe the short term pain is likely to be.  It might indeed lead to the doomsday scenario but equally other things might happen.  For instance, in many cases employers may find that they don’t need all their employees to show up on the dot at 9 o’clock in the morning.  So, it may be possible for many of them to travel off-peak.  Equally, many rail companies may take the view that the profit-maximizing price isn’t that much higher than it is at the moment or that a better way to gain goodwill would be to approach it at only a slow pace, say 20% a year or so.

What sort of long-term gain do you see? 
It is difficult to gaze into the future.  That’s one of the weaknesses being in favour of freedom.  You can’t predict with any certainty what will happen.  For instance, it may be the case that something comes along which replaces railways for good.

I could speculate on rail companies running longer trains or double-deck trains or having different classes of carriage: guaranteed seat, standing-room only etc or introducing seats that are locked out of use at peak hours, but I really have no idea what would happen.  All I can be sure about is that it is likely to be a lot better than the situation that we have at the moment.

Notes for the next version

“Outrage”.  We need a better explanation as to why.  I think a lot of it is to do with fear: “I’ve got my job, bought my house and if the fares go up too much one of them is going to have to go.  Hey, I could even end up destitute.” Hmm, actually that’s the fear of fare freedom.  The outrage at a rise is different.

We need something on the history of this.  Before 1940 there was almost no fare regulation at all.  Things seemed to work fine.  Certainly, there was nothing like the outrage we get these days.  OK, there were some problems immediately after the First World War with delays and overcrowding.  I’ve heard the explanation that this was to do with the introduction of an eight-hour day but I would like to get to the bottom of this.

“Not only is this practice wrong...” Weak.  What I want to get across is that the government is using violence and violence is wrong.  I want to point out the inherent niceness of freedom.

Price signals.  Too technical.  I think we need to imagine a situation where price signals would have an impact and avoid using the term entirely.

Could do with a piccie as well.

Actually, I’m not even sure this is the right article.  “A generic piece of fares” might be more appropriate.

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The Worldwide Project Consortium has welcomed Sphinx Egypt Ltd. Co to its specialist global logistics network.

WWPC General Manager, Kevin Stephens, based in Queensland, Australia, said today (December 11, 2006) Sphinx Egypt, with offices in Cairo and Alexandria, had more than 20 year’s experience delivering outstanding service along the important transport artery between Egypt and Europe.

 

“Sphinx Egypt has an expert team that ensures the Worldwide Project Consortium is well positioned to maximise opportunities in one of the most dynamic emerging markets in the world,” Mr Stephens said.

“The Worldwide Project Consortium has an enviable track record of success that can help meet the logistics needs of a diverse range of clients, particularly those working on large oil and gas projects in the Middle East region.”

Mr Stephens said Sphinx Egypt Ltd. Co. was headed by Dr. Naim Amen and had substantial experience in custom clearance and freight forwarding, particularly large-scale projects throughout Egypt including heavy lifts and oversize cargo.

WWPC members will be gathering in Cape Town, South Africa, from March 29-30, 2007 to attend the annual Partnering for the Future Conference. More than 100 participants are expected to attend.

Major sponsors at the conference included Rickmers-Linie GmbH, Germany; Volga-Dnepr (UK) Limited; Air Partner plc, U.K.; Macs Maritime, South Africa; Beluga Chartering GmbH, Germany; and Sun Communications PR and Media, Australia.

 Source Press Release

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Third-Party Assurances Help Customers Meet Sarbanes-Oxley and Other Regulatory Requirements

For the third consecutive year Railinc successfully completed a Statement on Auditing Standards (SAS) 70 Type II examination. More stringent than a Type I examination, the Type II exam includes detailed testing of Railinc internal controls to demonstrate that they are suitably designed and operating effectively.

 

"We are dedicated to supporting our customers' compliance requirements," says E. Allen West, Railinc president and CEO.

"The SAS 70 audit validates that Railinc meets the highest standards for securing and protecting data exchanges with Railinc customers. It gives them assurance that their data is being processed accurately and completely."

Under Section 404 of the Sarbanes-Oxley Act, companies are required to receive an opinion from their external auditors regarding their systems of control, including those extending to service providers such as Railinc. The SAS 70 Type II examination allows users to rely on Railinc's controls, reducing auditing expenses for its customers, as well as assuring compliance.
 
The process examined the integrity and security of Railinc's systems, including an exhaustive assessment of internal controls in operations over a six-month period. Railinc's systems, procedures and controls--critical to processing information and millions of confidential financial transactions--were thoroughly evaluated. Specifically, the following four systems were examined: the Railroad Clearinghouse (RCH); the Interline Settlement System (ISS); the Rate EDI Network (REN); and the Liability Continuity System (LCS). Additionally, physical and logical security measures; network access and monitoring; systems development; change management; and customer service were also evaluated.

 

About Railinc

Railinc  is the largest, single source of real-time, accurate interline rail data in the North American transportation industry. Railinc is the supplier of time-tested products and services like Umler/EMIS, TRAIN II, Interline Settlement, Railcar Accounting, Steelroads, RailSight, and EDI connection services. These systems and services support railroads, shippers, equipment owners, and suppliers along every link of their supply chains. Class I, short lines, regional railroads, and transportation professionals alike, use Railinc's tools and information to manage and analyze their rail traffic.

 

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